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CADA’s efforts to help open Ambassador Bridge

CADA’s efforts to help open Ambassador Bridge

February 21, 2022

The Ambassador Bridge at the Windsor-Detroit (Canada-U.S.) border reopened after being closed for a week, but the impact of the closure can still be felt on the automotive industry, according to CADA Director of Public Affairs Huw Williams.

In an interview with CADA Newsline, Williams said the moment the bridge was blocked, it quickly became clear that the closure would become an “enormous” challenge for the entire automotive sector.

“CADA immediately coordinated our response with both the Canadian Vehicle Manufacturers Association (CVMA) and the Global Automakers of Canada (GAC),” said Williams. “Our message to the government was clear: while protests are welcome in a democracy, blockading the border crossing, which is a critical trade infrastructure, is not acceptable for the health of the entire auto sector, both in Canada and the U.S.”

He said the bridge is critical for the assembly of vehicles and the production of auto parts on both sides of the border, and that dealers already suffering from critical supply chain and auto parts shortages could not afford to see delays.

Williams also notes that blocking the bridge resulted in holding an entire sector hostage—one that employs thousands of people and includes millions of customers. For this reason, CADA also coordinated their response with the Canadian Chamber of Commerce and hundreds of business associations to deliver their message.

In addition, the association connected with major media outlets and trade publications to offer interviews and get their message across. They also met with international media to make the point that critical supply chain and parts shortages would have a cascading impact on dealers and customers—while eventually and inevitably affecting emergency services.

During this time, Williams along with CADA President and CEO Tim Reuss met with numerous Members of Parliament to highlight how border blockades can have a global economic impact across Canada, in a way that street protests do not.

“The emergency measures taken by municipal provincial and federal governments to protect key trade routes help demonstrate the importance of keeping key sectors of the economy, like the auto industry, rolling,” said Williams.

He adds that CADA has been part of an industry-wide effort to increase automotive investments in Canada—investments that are important to the economy and the overall auto sector.

“However, uncertainty around trade routes like Ambassador Bridge provides an opportunistic argument for those that would like to see investment go elsewhere,” said Williams. “As a country, we need that automotive investment.”

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La CADA a travaillé à faire rouvrir le pont Ambassador

La CADA a travaillé à faire rouvrir le pont Ambassador

Le 21 février 2022

Le pont Ambassador à la frontière entre Windsor et Detroit (Canada–États-Unis) a rouvert après avoir été fermé pendant une semaine, mais l’industrie automobile subit encore les contrecoups de ce barrage, au dire du directeur des affaires publiques de la CADA, Huw Williams.

Dans une entrevue accordée à Écho-CADA, M. Williams a indiqué qu’on a vite pu comprendre que la fermeture du pont poserait un défi «énorme» pour la totalité du secteur automobile.

«La CADA a immédiatement travaillé à une réponse coordonnée avec l’Association canadienne des constructeurs de véhicules (ACCV) et les Constructeurs mondiaux d’automobiles du Canada (CMAC)», a dit M. Williams. «Notre message au gouvernement était limpide : si les manifestations sont les bienvenues dans une démocratie, bloquer un passage frontalier — une infrastructure commerciale vitale — est inacceptable. Il en va de la santé de tout le secteur automobile du Canada comme des États-Unis.»

Il a ajouté que le pont est crucial pour l’assemblage des véhicules et la production de pièces d’automobiles des deux côtés de la frontière, et que les concessionnaires, qui font déjà les frais des problèmes d’approvisionnement et des pénuries de pièces, ne peuvent pas se permettre de retards additionnels.

M. Williams a également affirmé que bloquer le pont équivalait à tenir en otage tout un secteur qui emploie des milliers de gens et sert des millions de clients. C’est pourquoi la CADA a aussi préparé une réponse de concert avec la Chambre de commerce du Canada et plusieurs centaines d’associations commerciales.

En outre, la Corporation a communiqué avec de grands médias et organes de presse pour leur offrir des entrevues et faire passer son message. Elle a aussi rencontré des médias internationaux pour faire valoir que les problèmes d’approvisionnement et les pénuries de pièces critiques auront un effet d’entraînement sur les concessionnaires et les clients — et finiront inévitablement par handicaper les services d’urgence.

Pendant ce temps, M. Williams et le président et chef de la direction de la CADA, Tim Reuss, ont rencontré de nombreux députés afin de leur faire comprendre comment les barrages frontaliers à l’échelle du Canada auront des retombées économiques que n’ont pas les manifestations habituelles.

«Les mesures d’urgence prises par les gouvernements municipaux, provinciaux et fédéral pour protéger des voies commerciales essentielles montrent à quel point il est important que les secteurs clés de l’économie, comme l’industrie automobile, continuent de fonctionner», a dit M. Williams.

Il a ajouté que la CADA participe à un effort sectoriel visant à accroître les investissements dans l’industrie automobile canadienne, lesquels sont primordiaux pour l’économie et le secteur automobile en général.

«Cependant, l’incertitude entourant des axes commerciaux tels que le pont Ambassador arrive juste à point pour donner des munitions à ceux qui aimeraient voir ces investissements aller ailleurs», a conclu M. Williams. «Le pays a besoin de ces investissements dans l’automobile.»