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EV mandates raised at CAPC meeting

EV mandates raised at CAPC meeting

June 25, 2024

CADA recently met with federal and provincial industry ministers from Ontario and Quebec, the heads of 5 of Canada’s OEMs who assemble vehicles in Canada, the unions representing auto workers, and university researchers focused on automotive.

The group is called the Canadian Automotive Partnership Council, or CAPC. It was formed in 2002 to try to coordinate Canada’s efforts to attract and retain automotive investment in Canada.

CADA has a seat in the group, representing auto dealers, and had a chance at the meeting to update fellow CAPC members about its position on federal EV mandates that would require dealers to only sell new EV vehicles by 2035.

“CADA was very vocal at the meeting where we stressed the importance of government mandates being rolled back, ended or adjusted because consumers and the charging grid just aren’t ready for mass EV adoption,” said Huw Williams, CADA’s Director of Public Affairs. “There will be a vehicle availability and affordability crisis that will hit every Canadian if there aren’t adjustments made.”

Williams said while CADA and member dealers are not anti-EV or opposed to the move to electrification, they are concerned the pace is out of step with consumer demand and other factors that will end up hindering the adoption of electric vehicles.

“The sales mandates laid out by the government are starting to hit the harsh reality of what's indeed possible. And by failing to adjust EV mandates at the federal and provincial level, there's only one outcome, which is chaos and an affordability crisis for consumers,” said Williams, adding that consumers who switch over to EVs too soon before the charging infrastructure can accommodate everyone, will have a bad experience and will actually set us back on the broader environmental goals of reducing greenhouse gas emissions.

Williams said the group also discussed progress made from some recent announcements of significant investment in Canada’s auto industry and its supply chain.

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La CADA continue de faire pression sur les politiciens au regard des mandats sur les VE

La CADA continue de faire pression sur les politiciens au regard des mandats sur les VE

Le 25 juin 2024

La CADA a récemment rencontré les ministres de l’Industrie du fédéral, de l’Ontario et du Québec; les dirigeants de cinq des constructeurs qui assemblent des véhicules au Canada; les syndicats qui représentent les travailleurs de l’automobile; et des chercheurs universitaires qui étudient le milieu.

Ensemble, ils forment le Conseil du partenariat pour le secteur canadien de l’automobile (CPSCA). Ce groupe a été formé en 2002 dans le but de coordonner les efforts du Canada pour attirer et conserver des investissements dans l’automobile au Canada.

La CADA a une place dans ce groupe, comme représentante des concessionnaires d’automobiles, et a eu la chance durant la réunion de faire part aux autres membres du CPSCA de sa position sur les mandats du fédéral sur les VE, qui visent à ce que tous les véhicules neufs vendus par les concessionnaires soient électriques à partir de 2035.

«La CADA n’a pas mâché ses mots à la réunion. Nous avons insisté sur la nécessité, pour le gouvernement, d’annuler, d’éliminer ou de modifier les mandats, parce que les consommateurs et le réseau de bornes de recharge ne sont tout simplement pas prêts pour une adoption généralisée des VE», a dit Huw Williams, directeur des affaires publiques de la CADA. «La disponibilité et l’accessibilité des véhicules atteindront des niveaux critiques qui affecteront tous les Canadiens si aucun correctif n’est apporté.»

Au dire de M. Williams, si la CADA et ses membres ne sont pas anti-VE et ne s’opposent pas à l’électrification, ils craignent que le rythme d’exécution de cette stratégie ne soit pas en phase avec la demande des consommateurs et d’autres facteurs, ce qui, au bout du compte, freinera l’adoption des véhicules électriques.

«La triste réalité, c’est que les mandats de vente imposés par le gouvernement et ce qui est possible dans les faits sont sur le point d’entrer en collision. Le défaut de rectifier le tir en matière de mandats sur les VE au fédéral et au provincial provoquera sans l’ombre d’un doute de la confusion et une crise d’accessibilité pour les consommateurs», a dit M. Williams, qui a ajouté que les consommateurs qui passent aux VE trop vite, avant que l’infrastructure de recharge puisse servir tout le monde, auront une mauvaise expérience, ce qui nuira à l’atteinte des objectifs environnementaux plus généraux de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Selon M. Williams, le groupe a aussi discuté des progrès réalisés depuis les récentes annonces d’investissements considérables dans l’industrie automobile du Canada et sa chaîne d’approvisionnement.